Je viens vous faire un aveu... j'ai tué, de multiples manières, plusieurs de vos proches parents venus faire des galipettes chez moi.
Malheureusement pour vous, ma haine est viscérale... Contre vous je n'ai aucun grief, si ce n'est celui de précipiter ma fin par accélération soudaine de mon rythme cardiaque; petits infarctus quotidiens durant tout l'été.
En fait... vous êtes laids... C'est votre principal défaut; et vous aurez beau me dire qu'on ne peut détester quelqu'un d'office pour son aspect physique et que la vraie beauté est intérieure... vous ne me convaincrez jamais en ce qui vous concerne puisque ce que j'ai pu voir de votre contenu jusqu'à maintenant était aussi laid sinon plus que votre horrible enveloppe dont les araignées - peut-être les seules à vous surpasser dans l'atrocité de l'apparence - sont bizarrement si friandes... mais les affreuses méchantes sorcières n'aiment-elles pas les crapauds, chauve-souris et scorpions?
En fait, j'ai simplement envie de vous demander pardon... pour la simple raison que je sais aujourd'hui que je ne vous aimerai jamais...
... que toute ma vie je ne pourrai supporter votre vue... et même pire, votre contact physique...
... que j'entraînerai mes descendants à vous détester et vous chasser de leurs habitations...
... que je recommencerai encore et encore à vous écraser; à vous écrapoutir... puis à essuyer d'un geste dédaigneux votre bouillon d'insecte et vos microscopiques organes.
Suite à la réception de cette lettre, j'ose espérer que vous cesserez de vous précipiter dans mon appartement à la minute où j'ouvre ma fenêtre... de vous aggriper à mes sacs de déchets ou, encore pire, à mes vêtements secs sur la corde à linge...
Vous n'êtes pas les bienvenus chez moi! Je pense que le message est clair!
Voilà! C'est fait!
Je vous avise donc qu'à partir de maintenant tout perce-oreilles entrant chez moi sera considéré comme provocateur et traité comme tel; et ce, sans aucun sentiment de culpabilité de ma part.
Bien à vous,
Danielle
Malheureusement pour vous, ma haine est viscérale... Contre vous je n'ai aucun grief, si ce n'est celui de précipiter ma fin par accélération soudaine de mon rythme cardiaque; petits infarctus quotidiens durant tout l'été.
En fait... vous êtes laids... C'est votre principal défaut; et vous aurez beau me dire qu'on ne peut détester quelqu'un d'office pour son aspect physique et que la vraie beauté est intérieure... vous ne me convaincrez jamais en ce qui vous concerne puisque ce que j'ai pu voir de votre contenu jusqu'à maintenant était aussi laid sinon plus que votre horrible enveloppe dont les araignées - peut-être les seules à vous surpasser dans l'atrocité de l'apparence - sont bizarrement si friandes... mais les affreuses méchantes sorcières n'aiment-elles pas les crapauds, chauve-souris et scorpions?
En fait, j'ai simplement envie de vous demander pardon... pour la simple raison que je sais aujourd'hui que je ne vous aimerai jamais...
... que toute ma vie je ne pourrai supporter votre vue... et même pire, votre contact physique...
... que j'entraînerai mes descendants à vous détester et vous chasser de leurs habitations...
... que je recommencerai encore et encore à vous écraser; à vous écrapoutir... puis à essuyer d'un geste dédaigneux votre bouillon d'insecte et vos microscopiques organes.
Suite à la réception de cette lettre, j'ose espérer que vous cesserez de vous précipiter dans mon appartement à la minute où j'ouvre ma fenêtre... de vous aggriper à mes sacs de déchets ou, encore pire, à mes vêtements secs sur la corde à linge...
Vous n'êtes pas les bienvenus chez moi! Je pense que le message est clair!
Voilà! C'est fait!
Je vous avise donc qu'à partir de maintenant tout perce-oreilles entrant chez moi sera considéré comme provocateur et traité comme tel; et ce, sans aucun sentiment de culpabilité de ma part.
Bien à vous,
Danielle
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